Le concept de « manger équilibré » est de plus en plus prôné dans notre quotidien. Généralement, cette idée d’alimentation saine dite « healthy » signifie des restrictions et un régime minceur, mais il s’agit d’une mauvaise association. Manger équilibré, c’est tout simplement se nourrir de tout en quantité raisonnable pour ne pas se sentir en frustration et obtenir une routine qui ne crée pas d’envies ou de pulsions particulières.
Comment manger équilibré ? Existe-t-il des règles de composition pour composer une assiette gourmande, mais saine ? On vous dit tout !
Sommaire
De quoi est composée une alimentation équilibrée ?
Manger équilibré est le slogan le plus en vogue du moment pour inciter les gens à suivre un plan nutritionnel sain où tous les nutriments sont présents. Parfois, certains menus contiennent des aberrations, car le vice est poussé jusqu’à se débarrasser des calories vides d’un régime alimentaire. En réalité, tous les ingrédients offrent des bénéfices santé tant qu’ils sont consommés sans excès. Les éléments les plus importants d’une alimentation équilibrée sont :
- Les protéines
- Les « bonnes » graisses
- Les glucides
- Les vitamines
- Les minéraux
- Et les fibres.
Si vous rencontrez des difficultés à savoir comment équilibrer vos assiettes avec l’ensemble de ses macro-nutriments, vous pouvez vous aider de box ou de plats tout prêts comme ceux de https://labrigadedevero.com/ qui vous guideront vers une composition parfaite de vos menus.
Par ailleurs, les personnes qui se soucient de leur santé et de leur bien-être doivent veiller à s’hydrater correctement en eau minérale tout au long de la journée. C’est un élément essentiel et même vital pour maintenir une nutrition parfaite.
Comment créer une assiette pour manger équilibré ?
Des diététiciens ont établi les principes d’une alimentation saine et la proportion de nutriments dont l’organisme a besoin pour fonctionner correctement au quotidien en se référant à leurs connaissances sur la nutrition et les besoins de notre organisme.
Selon les schémas des proportions à respecter, la moitié du repas doit être composé de fruits et de légumes, avec une majorité de légumes dans l’assiette principale pour apporter des fibres, tout en limitant le fructose (sucre des fruits). Ces derniers consommés en forte quantité peuvent fermenter dans l’intestin et entraîner des douleurs ventrales.
Un quart de l’assiette doit ensuite être constituée de produits céréaliers de préférences complets. Il apporte une bonne source de fibres et de glucides indispensables pour nous fournir de l’énergie. Leur apport permet de stimuler nos intestins, mais surtout de se rassasier plus facilement afin de maintenir un poids de santé stable.
Le dernier quart du repas représente une source de protéines. Cela peut être de la volaille, du poisson, des œufs, des légumineuses, des substituts végétaux (soja, tempeh, seitan, etc.) ou un produit laitier. Cependant, faites attention à ces derniers car ils sont souvent source d’allergies alimentaires. De plus, certaines personnes peuvent ressentir une certaine intolérance ou produire des gazs s’ils sont consommés en trop forte quantité.
Important : toutes ces recommandations s'adressent aux personnes qui ne sont pas affectées par des maladies chroniques. En cas de maladies ou d'allergies, un médecin nutritionniste doit être consulté.
Que faut-il retenir pour manger équilibré ?
Depuis que la pyramide alimentaire jusqu’alors connue a été remplacée par un modèle d’assiette divisé en 3 parties, il est plus facile de se représenter le schéma d’une nutrition idéale pour manger équilibré. Elle décrit de manière simplifiée et compréhensible les groupes d’aliments à privilégier et dans quelles quantités.
Sa disposition illustre également leur part quantitative dans l’alimentation quotidienne et se trouve complété par des informations pratiques comme :
- Planifier un minimum de trois repas à heures fixes
- La prise d’un petit déjeuner est nécessaire
- Manger des produits frais et de bonne qualité pour leur richesse en nutriments
- Éviter l’excès de sucre et de sel
- Prendre des petites collations entre les repas : fruits, légumes, yaourts, etc.
- Modérer les aliments transformés.
- Limiter la surconsommation de produits animaux (avec un accent particulier sur la viande rouge). Une consommation fréquente est déconseillée en raison de la présence de cholestérol et d’acides gras saturés.
- Veiller à prendre le dernier repas au moins 2 heures avant le coucher.
